[nos amis les gens] Puer, pueri
(du côté de Miromesnil)
Romain L. : Je ne sais pas si tu as lu, mais Shakespeare parle de la guerre comme d’un truc puéril. Childish. C’est dans Richard III, je crois. Voici la guerre et chacun de ses regards puérils est mortel. Aubenas, elle, elle parle d’un sale jeu, une « danse de mort » sur le monde. Les guerriers, au fond, ça les défoule, de guerroyer. On croit que c’est viril mais en fait, c’est gamin, la guerre.
Lynndie E.: Misayre, misayre.